« May Ayim n’approuve pas ce texte. May Ayim avait d’ailleurs pris soin de railler l’exercice des pré/postfaces dans « vorwort » (« préface »), le poème qui ouvre son recueil blues en noir et blanc 1. Elle avait raison, ses vers et sa prose se suffisent à eux-mêmes. D’ailleurs, si j’étais germanophone et que la demande m’avait été faite pour une édition allemande, j’aurais décliné. Que pourrais-je ajouter qu’elle ne dit déjà ? »

C’est ainsi que je commence mon texte « Ceci n’est pas une postface » et je suis très fière qu’un de mes écrits côtoie l’une des oeuvres

6 OCTOBRE 2023
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